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30 mars 2016 3 30 /03 /mars /2016 13:11

 

 
Retrait du Projet Khomry, ça fera même pas le compte

 

 

 

 

Parce qu’on en a marre de leur monde flexi-sécuritaire.

Parce que pour leurs profits, pour nous c’est sûr précaires.

Parce qu’on en a marre de bosser pour les banquiers et les rentiers.

Parce qu’on en a marre de les renflouer quand ils se sont plantés.

Parce que pour une poignée de dollars ils tuent Terre et Mer.

Parce que y’en a marre des parle-menteurs représentant leurs intérêts particuliers.

Parce que la démocratie « tous les 5 ans » c’est pas la Démocratie c’est l’Oligarchie.

Parce qu’en 20 ans d’Europe, enrobées sous du TAFTA, on n’a que des Khomry.

Parce qu’il y a d’autres manières d’exister que travailler et consommer.

 

Parce que leur monde s’effondre, ils nous écrasent !

 

31 Mars 2016 On va pas se coucher !

Nuit Debout ! Prenons la rue !

Après la manif, on ne rentre pas, on campe sur place,

On occupe !

Plusieurs initiatives se mettent en place en France, à Nîmes aussi,

à partir de 18h, avenue Feuchères

Tenez vous au courant, préparez vous de votre côté, participez,

Soyez incontrôlables.

 

http://www.convergence-des-luttes.org/

https://www.facebook.com/events/250387601966672


http://www.onbloquetout.org/


http://democratie-reelle-nimes.over-blog.com

reelle.democratie.nimes@gmail.com

 

 

Les Indigné-e-s de Nîmes Démocratie Réelle Maintenant

 

 

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28 mars 2016 1 28 /03 /mars /2016 17:12

 

Info reçue par mail

 

 

 

 

                                                         

 

 

 

 

 

Nimes le 25 mars 2016

 

 

 

 

 

COMMUNIQUE DE PRESSE

 

 

 

 

 

Le DAL, Comité de Nimes et environs, appelle à manifester

 

le jeudi 31 mars 2016

 

 

 

Pas d'expulsion sans relogement, un toit c'est un droit !

 

 

 

Face au chômage et à la précarisation accentuée par la crise

 

économique et sociale,le mal-logement est en France un problème

 

concret pour des millions de personnes:

 

étudiant-e-s, travailleurs-ses pauvres, chomeurs-ses,

 

enfants ou personnes âgées...

 

A l'occasion du 9ème anniversaire de la Loi DALO (Droit Au Logement

 

Opposable), leComité Droit Au Logement

 

(DAL Nimes et environs) renouvelle un certain nombre de

 

demandes, au moment de la fin de la trêve hivernale

 

qui relancera les expulsions :

 

 

- relogement des mal logé(e)s et sans logis;

 

- arrêt des expulsions sans relogement et des coupures de fluides

 

(eau, électricité,gaz...);

 

- application de la loi DALO et DAHO,

 

afin que ce nouveau droit devienne effectif;

 

- réalisation massive de vrais logements sociaux,

 

accessibles aux ménages modestes;

 

- renforcement des moyens de défense des locataires,

 

des mal logés et des sans logis;

 

- le maintien des structures d’hébergement d’urgence,

 

été comme hiver;

 

- une application de la Loi ALUR (Accès au Logement et un Urbanisme

 

Rénové) débouchant sur une véritable baisse des loyers

 

et des charges

 

et un accès au logement des précaires et des jeunes.

 

 

 

Nous appelons les personnesqui sont ou qui se sentent concernées à

 

venir avec leurs oreillers, duvets, tentes, pyjamas...

 

pour camper devant la préfecture,

 

le jeudi 31 mars 2016, à partir de 18h00, avenue

 

Feuchères de Nimes, pour montrer de façon combattive que des gens

 

dorment dehors toute l’année.

 

 

Dormir dehors, une histoire à rester debout!

 

 

 

 

 

DAL Nimes et environs: c/o Solidaires – 6 rue Porte d'Alès – 30000 Nimes

 

Tél 07 68 28 16 51 Courriel

 

: dal30@riseup.net

 

 

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28 mars 2016 1 28 /03 /mars /2016 17:02

 

 

Info reçue par mail

 

 

 

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28 mars 2016 1 28 /03 /mars /2016 16:44

 

 

Communiqué de presse de la Nuit Debout du 31 mars
AUJOURD’HUI · PUBLIC
LE 31 MARS 2016, APRÈS LA MANIFESTATION ON NE RENTRE PAS CHEZ NOUS, ON OCCUPE UNE PLACE !
C’EST LA GOUTTE D’EAU
Si le projet de loi Travail a tant mobilisé, c’est parce qu’en poussant toujours plus loin l’injustice, il fait craquer la digue de ce que nous pouvions supporter. Nos gouvernants sont murés dans l’obsession de perpétuer un système à bout de souffle, au prix de « réformes » de plus en plus rétrogrades et toujours conformes à la logique du néolibéralisme à l’œuvre depuis 30 ans : tous les pouvoirs aux actionnaires et aux patrons, à ces privilégiés qui accaparent les richesses collectives.
Ce système nous est imposé, gouvernement après gouvernement, au prix de multiples formes de déni de démocratie. Le projet de loi Travail pourra bien être retiré, et Valls sauter, nous ne rentrerons pas chez nous pour autant : ce monde qu’ils construisent avec acharnement pour nous mais contre nous, nous n’en voulons pas !
Un élan populaire est en train de naître. Lycéen.ne.s, étudiant.e.s, salarié.e.s syndiqué.e.s ou non, chômeurs en colère, discriminé.e.s en tout genre, syndicalistes réprimé.e.s, paysan.ne.s et écolos zadistes, ça fuse de partout et c’est beau à voir.
NOS RÊVES CONTRE LEURS PRIVILÈGES
Au programme : animation, restauration, concerts, partage d’informations, Assemblée Citoyenne Permanente et plein de surprises. Le 31 mars on se pose, on discute et on décide ensemble des actions à mener pour faire de la Nuit Debout le début d’un mouvement citoyen. Nous porterons nos espoirs avec fierté et fermeté. Des solutions existent, nous avons des sources d’inspiration, des idées, des expériences, des savoirs et des savoir-faire, de l’énergie, de la bienveillance et de la joie. Ce tournant est à notre portée !
Nous invitons tous ceux qui, au-delà de leur opposition à la destruction du Code du Travail, aspirent à construire un projet politique ambitieux, progressiste et émancipateur, à nous rejoindre à l’issue de la manifestation du 31 mars.
Des précisions seront diffusées progressivement sur le site www.convergence-des-luttes.org
NOUS : INITIATEURS DE LA NUIT DEBOUT, FEMMES ET HOMMES DE TOUTES ORIGINES, SIMPLES CITOYEN.NE.S, MILITANT.E.S ASSOCIATIFS OU POLITIQUES, SPONTANÉMENT RÉUNIS AUTOUR DE LA DYNAMIQUE CRÉÉE PAR LE FILM DE FRANÇOIS RUFFIN MERCI, PATRON !, INVITONS LES MANIFESTANTS À OCCUPER UNE PLACE PUBLIQUE LE 31 MARS 2016 POUR INVENTER UNE SOCIÉTÉ JUSTE ET ÉMANCIPATRICE.
 
                                                                        **************************
 
A NÎMES !

 

Retrait du Projet Khomry, ça fera même pas le compte 
 
image.jpeg
 
Parce qu’on en a marre de leur monde flexi-sécuritaire.
Parce que pour leurs profits, pour nous c’est sûr précaires.
Parce qu’on en a marre de bosser pour les banquiers et les rentiers.
Parce qu’on en a marre de les renflouer quand ils se sont plantés.
Parce que pour une poignée de dollars ils tuent Terre et Mer.
Parce que y’en a marre des parle-menteurs représentant leurs intérêts particuliers.
Parce que la démocratie « tous les 5 ans » c’est pas la Démocratie c’est l’Oligarchie.
Parce qu’en 20 ans d’Europe, enrobées sous du TAFTA, on n’a que des Khomry.
Parce qu’il y a d’autres manières d’exister que travailler et consommer.
 
Parce que leur monde s’effondre, ils nous écrasent.
On va pas se coucher!
 
31 Mars 2016 Nuit Debout !
Prenons la rue !
 
Après la manif, on rentre pas, on campe sur place
On occupe !
Plusieurs initiatives se mettent en place en France… à Nîmes aussi, à partir de 18h Avenue Feuchères. 
Tenez vous au courant, préparez vous de votre côté, participez.
Soyez incontrôlables.
 
 
 
 
 
 
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27 mars 2016 7 27 /03 /mars /2016 21:01

 

Source : https://blogs.mediapart.fr/pascal-maillard

 

 

Une urgence: mettre fin à la violence aveugle de l’État
 
 
 
L’adolescent du lycée Bergson frappé d’un violent coup de poing a fait le tour du web : l’IGPN a été saisie. Un militant matraqué à Nantes : une seconde enquête est ouverte. Parmi les multiples violences commises par les CRS les 17 et 24 mars, un enfant de 13 ans, matraqué par un policier, lui répond : « Interroge les gens avant de frapper ! ».

Le déchainement de violence gratuite contre un adolescent de 15 ans a suscité une vive émotion, obligeant des membres du gouvernement à prendre position. Il n’en va pas de même pour de nombreux autres actes de violence policière, tout aussi graves et révoltants. Parmi ceux-ci, deux ont retenu mon attention. 

La procureure de la République de Nantes a ouvert le 26 mars une enquête sur les violences commises par des CRS sur un militant associatif lors de la manifestation du 24 mars contre la « loi Travail ». Dans la vidéo amateur que l’on peut visionner ci-dessous, on constate trois faits : l’acharnement des CRS à traquer les militants en fin de manifestation ; la violence de coups portés gratuitement, avec récidive ; une situation de non assistance à personne en danger : le militant perd abondamment son sang pendant de longues minutes, sous la garde de deux policiers indifférents. Résultats : 7 point de suture. Circonstance aggravante pour la police : un placement en garde à vue sans fondement. Le journaliste Sylvain Ernaut a écrit pour le site La déviation un article documenté que l’on peut consulter ici.

 

Nantes, 24 mars : un militant blessé par des CRS © La Déviation

 

On peut s’étonner, après cette seconde saisie de l’IGPN, que les exactions des CRS à Tolbiac le 17 mars dernier, n’aient donné lieu à aucune ouverture d’enquête. Or les témoignages et les vidéos documentent des violences policières caractérisées contre les étudiants, les manifestants et même de simples passants dans la rue. Parmi ceux-ci, un enfant de 13 ans qui assure, dans la vidéo ci-dessous, avoir été frappé par un policier. Il n’y a pas de raison de ne pas prendre au sérieux son témoignage, comme ceux de toutes les victimes ou témoins des violences du 17 mars à Tolbiac. A cette fin, une enquête doit être diligentée au plus vite. C’est avec beaucoup d’intelligence et de bon sens que l’enfant de 13 ans dit à la police : « Interroge les gens avant de frapper ! ». Il mérite d’être entendu.

 

Paris le 17 mars : témoignage d'un enfant de 13 ans © DOC du réel

 

Il ne s’agit ici pas de bavures localisées, mais la conséquence directe de trois faits qui engagent des responsabilités politiques et administratives. Tout d’abord d’un ordre politique de répression massive, coordonnée et systématique, émanant du sommet de l’État (a minima le ministère de l’Intérieur), traduisant une tentative de criminalisation des mouvements sociaux comme la France n’en a pas connue depuis des décennies. Ensuite une instrumentalisation et un dévoiement des moyens mobilisés dans le cadre de l’état d’urgence. Etat d’urgence qui doit être levé ! Enfin une impunité accordée aux fonctionnaires du maintien de l’ordre, et ceci contre toutes les règles élémentaires de leur profession.

Il reviendra aux parlementaires, après clôture des instructions en cours, de formuler la demande de création d’une commission d’enquête parlementaire. Rappelons que les compagnies républicaines de sécurité (CRS) sont des forces de police placées sous la responsabilité du ministre de l’Intérieur. La présence massive de policiers de la BAC sur les campus universitaires, reconnaissables à leur matraque télescopique en acier, doit également être interrogée. Le maintien de l’ordre dans les universités relève-t-il désormais des compétences de la brigade anti-criminalité ? Les étudiants sont-ils considérés et traités par les préfectures et le ministère de l’Intérieur comme des délinquants ? On était habitué à une présence discrète sur les campus de membres de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI, ex-RG), y compris hors autorisation des présidents d’université - chose illégale, même sous état d’urgence -. Doit-on accepter une présence régulière de la BAC, et par conséquent une véritable criminalisation des mouvements étudiants ? Quand on connaît les dérives locales de certaines BAC, il y a matière à s’alarmer, non seulement pour le respect du droit, mais encore pour la sécurité même des étudiants et des lycéens associés au mouvement.

Or, force est de constater que la très grande majorité des lycéens et étudiants engagés dans le mouvement de jeunesse contre la « loi Travail », sont pacifiques, responsables, organisés et respectueux des lieux et des personnes, y compris ceux qui appartiennent à des organisations d’extrême gauche. Ils ne sont ni des délinquants, ni des criminels, ni des terroristes. La première des violences exercée contre eux consiste dans les restrictions inadmissibles mises à leur liberté d’expression, d’organisation et de manifestation : fermeture des bâtiments, destruction de leur matériel, intimidations et menaces, violences caractérisées, arrestations et inculpations. La manifestation et l’AG du 24 mars à Strasbourg, à rebours des violences du 17 mars causées par les seules interventions de la BAC et des CRS (voir mon précédent billet), montrent que l’absence - ou la présence discrète - des forces de l’ordre évite les affrontements. Dans la plupart des cas, c’est bien la présence massive de policiers et CRS qui constitue la première des provocations. Quand on y ajoute l’arbitraire et la violence pure, la révolte des manifestants est légitime. 

 

 

Avant que le pire n’arrive, il faut aujourd’hui exiger de ce gouvernement :

 

1.     qu’il mette fin à sa répression aveugle de la jeunesse, en particulier des lycéens, des étudiants ;

 

2.     qu’il respecte et fasse respecter en tous lieux et toutes circonstances les libertés d’expression et de manifestation ;

 

3.     qu’il respecte et fasse respecter les droits des militants syndicaux et cesse de les envoyer devant les tribunaux ;

 

4.     qu’il fasse relaxer tous les manifestants inculpés depuis le début du mouvement contre la « loi Travail » ;

 

5.     qu’il retire les forces de police des campus et respecte les franchises universitaires ;

 

6.     qu’il diligente toutes les enquêtes nécessaires et prenne des mesures disciplinaires contre tous les policiers qui ont commis des actes de violence caractérisés contre des manifestants ;

 

7.     qu’il donne aux préfets et aux différentes directions des services de la police nationale des instructions fermes et précises visant à réinscrire les pratiques des forces de l’ordre dans un cadre légal et respectueux des libertés collectives et individuelles.

 

Notre  société est divisée et fragmentée. Pauvreté, précarité et chômage de masse constituent une violence quotidienne pour des millions de nos concitoyens. L’État est en train de la fracturer, en y ajoutant l’inacceptable violence de la répression de la jeunesse.

Pascal Maillard

 

Manifestant de Nantes, 24 mars 2016 © Nathalie Bourreau Manifestant de Nantes, 24 mars 2016 © Nathalie Bourreau

 

 

 Signez la pétition de la Fondation Copernic : STOP AUX VIOLENCES POLICIERES

 

Appel de Strasbourg à la grève générale

pour le retrait de la « loi Travail »

Nous, 400 lycéen-ne-s, étudiant-e-s, personnels, sans-emploi, précaires, salarié-e-s du public et du privé, réuni-e-s en Assemblée générale unitaire le 24 mars 2016, à l’Université de Strasbourg :

1.     condamnons les violences policières commises sur tout le territoire français et en particulier sur les campus universitaires ;

2.     exigeons l’abandon des poursuites pénales contre les manifestant-e-s ;

3.     demandons la levée immédiate de l’état d’urgence qui sert de prétexte à la répression des mouvements sociaux ;

4.     exigeons l’abandon du projet de déchéance de nationalité ;

5.     dénonçons les sanctions contre les lycéen-ne-s et exigeons leur abandon ;

6.     demandons le droit de grève pour les lycéen-ne-s ;

7.     demandons le passage de la durée du temps de travail à 32h hebdomadaire ;

8.     exigeons le retrait sans condition de la « Loi Travail ».

 

Nous appelons tous les étudiants et personnels de l’université, les salariés du public et du privé, à se mettre en grève générale jusqu’au retrait de la « loi-Travail ».

 

 

 

 

Le Club est l'espace de libre expression des abonnés de Mediapart. Ses contenus n'engagent pas la rédaction.

 

 

Source : https://blogs.mediapart.fr/pascal-maillard

 

 

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22 mars 2016 2 22 /03 /mars /2016 12:53

 

Source : http://www.humanite.fr

 

 

Loi El Khomri. "La mobilisation du 17 mars a été une réussite"
 
 
Fortes de la réussite de cette journée, les organisations syndicales CGT, FO, FSU, Union syndicale Solidaires, UNEF, UNL, FIDL appellent les jeunes et les salarié-es à poursuivre et amplifier la mobilisation dès le 24 mars prochain, jour de la présentation du projet de loi au conseil des ministres.
 

 

Communiqué CGT, FO, FSU, Union syndicale Solidaires, UNEF, UNL, FIDL

La journée de mobilisation du 17 mars à l’initiative des organisations de jeunesse a été une réussite.

Les jeunes, très concernés par ce projet de loi, se sont fortement mobilisés avec le soutien des organisations de salarié-es.

La preuve est faite que les annonces du Premier ministre pour aménager la loi travail n’ont visiblement pas convaincu et ce malgré l’offensive gouvernementale largement relayée.

Les jeunes doivent pouvoir manifester et se réunir librement. Le gouvernement doit respecter leurs droits et non multiplier les obstacles.

Le débat sur la loi est loin d’être terminé. La réécriture du texte ne touche pas au cœur du projet qui contient toujours de multiples régressions.

Ce nouveau projet de texte ne répond donc pas aux aspirations fortes, exprimées par les jeunes, les salarié-es et les chômeurs pour l’accès à l’emploi et sa sécurisation. La création d’emplois de qualité ne peut pas être synonyme de la casse du code du travail mais nécessite en revanche un changement de politique économique et sociale.

Le gouvernement doit retirer son projet, entendre les propositions alternatives portées par les organisations de jeunesse et de salarié-es et en discuter avec elles.

Fortes de la réussite de cette journée, les organisations syndicales CGT, FO, FSU, Union syndicale Solidaires, UNEF, UNL, FIDL appellent les jeunes et les salarié-es à poursuivre et amplifier la mobilisation dès le 24 mars prochain, jour de la présentation du projet de loi au conseil des ministres.

Ce sera une nouvelle étape avant la puissante journée de grève et de manifestations du 31 mars pour obtenir le retrait de ce projet de loi et conquérir de nouvelles garanties et protections collectives.

VENDREDI, 18 MARS, 2016  HUMANITE.FR

 

Images intégrées 1

 

 
Contre la casse du code du travail : On lâche rien !!
Tous les rassemblements gardois 
- 24 mars à 12h00 à Nîmes Préfecture 
- 24 mars à 12h00 à Ales devant la sous préfecture
- 24 mars à 18h00 Bagnols 18h00 devant le Lycée

- ET LE 31 mars : TOUS EN GRÈVE 

MANIF DEPARTEMENTALE 15h00 à NÎMES

 

 

 

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22 mars 2016 2 22 /03 /mars /2016 12:45

 

Source : http://onbloquetout.org/

 

 

L’appel des syndicalistes contre la loi « travail »

Télécharger l’appel en format PDF

 

 

 

Le projet de loi El Khomri est une insulte au monde du travail. Rarement l’attaque aura été aussi grave. Avec l’inversion de la hiérarchie des normes qui permet aux accords locaux au rabais, obtenus sous la pression, de se substituer aux accords de branche ; en lançant l’offensive contre l’outil syndical avec la promotion des référendums-bidons en entreprise ; en organisant et généralisant la précarité, la flexibilité et en facilitant les licenciements, c’est une dégradation majeure du temps et des conditions de travail de millions de salarié.e.s que prépare activement le gouvernement.

 

À nous de nous préparer tout aussi activement à l’en empêcher ! Tout ce que mérite un tel projet c’est une riposte déterminée et massive des travailleuses, des travailleurs et de la jeunesse. Et pour cela, c’est le blocage de l’économie qui est à l’ordre du jour.

Le 9 mars, nous étions des centaines de milliers à battre le pavé. Pour nombre de salarié.e.s qui composaient la majorité des cortèges, la grève s’imposait. Et depuis le 17 mars, journée nationale de mobilisation appelée par les organisations de jeunesse, des dates de grève dans différents secteurs professionnels sont annoncées ; le 24 mars, nouvelle  journée de mobilisation, le projet de loi sera présenté en Conseil des ministres, avec sans doute quelques effets d’annonces destinés à faire croire que la copie a été revue : nous le disons tout net, le projet de loi n’est ni amendable, ni négociable et seul son retrait, total, s’impose.

 

Enfin le 31 mars, la grève interprofessionnelle est à l’ordre du jour. Cette grève doit être activement préparée et nous pouvons profiter pour ça du calendrier d’action qui se dessine jusque-là pour renforcer la mobilisation. La seule manière de gagner et de faire plier le gouvernement, c’est de bloquer l’économie. Les travailleurs et les travailleuses doivent en effet prendre leurs affaires en mains dans cette lutte et ne doivent pas s’en remettre à des politiciens ou politiciennes qui n’ont que les élections de 2017 en vue. Et pour bloquer l’économie, ce qu’il faut c’est d’abord réussir la grève du 31 mars et préparer sa généralisation et sa reconduction partout où c’est possible dans les jours et semaines qui suivront !

 

Alors nous obtiendrons le retrait du projet de loi El Khomri. Alors nous pourrons préparer la contre-offensive, NOTRE contre-offensive en popularisant des revendications qui permettent de rassembler, sur lesquelles les équipes syndicales pourraient s’engager ensemble, à la base et dans l’unité. La réduction du temps de travail à 32 heures par semaine, sans réduction de salaires, ni flexibilité, sans arnaque à la clef comme l’ont été dans de nombreux secteurs les « 35 heures-Aubry », voilà par exemple ce qu’il est urgent de mettre en avant pour contrer les dégradations des conditions de travail et imposer des créations d’emplois.

 

Tout cela, nous nous engageons à le mettre en débat auprès de nos collègues, dans nos structures syndicales, dans les intersyndicales auxquelles nous participons. Nous sommes certain.e.s que ces préoccupations, nombreuses et nombreux sont les syndicalistes qui les partagent. Quelles que soient les appartenances syndicales, nous les appelons à rejoindre cet appel, à en proposer la signature à leur structure syndicale et à mutualiser les informations sur la mobilisation sur le blog lié à cet appel. C’est toutes et tous ensemble qu’on va lutter, c’est toutes et tous ensemble qu’on va gagner !

 

Signez l’appel ! Syndicalistes, rejoignez-nous ! Signez l’appel : « On bloque tout »

 

Les 100 premier-e-s signataires : Christian Agon (CGT IBM), Eric Amy (CNT Boulanger Hénin Beaumont) Sylvain Apostolo (syndicaliste de la Confédération Paysanne), Enaut Aramendi (LAB), François-Xavier Arouls (Solidaires Groupe RATP), Christine Avenel (CGT Territoriaux Saint-Brieuc), Dominique Bacha (SUD/Sifp Territoriaux du Gard), William Battault (Cheminot CGT Malesherbes), Jérémy Berthuin-Uhl (Solidaires Gard), Claire Bidon (Solidaires étudiant-e-s Paris 8), Dominique Blanch (SNUipp-FSU Aude), Dominique Blivet (SUD Rural Territoires), Nathalie Bonnet (Fédération SUD Rail), Antoine Boulangé (CGT enseignement privé Créteil), Cindy Briguet (CNT Santé-Social CT Lorraine), Martial Chappet (Solidaires Paris), Antoine Chauvel (SNUipp-FSU 72), Nara Cladera (UL Solidaires Comminges), Marie-Anne Clément (CGT éduc’action 41), Philippe Colon (CNT garages Renault groupe GGBA), Quentin Dauphiné (FSU), Cybèle David (SUD éducation 93), Stéphane Degl’innocenti (SUD hôpitaux de Saint-Denis), Laurent Degousée (SUD Commerce), Fabien Delmotte (CNT-Solidarité ouvrière), Etienne Deschamps (CNT-Solidarité ouvrière), Jean-Marc Destruhaut (CGT AXA), Emilie Devriendt (Snesup-FSU), Gaëlle Differ (Fédération SUD PTT), Dominique Dubreuil (CGT retraitée Inspection du travail), Bertrand Dumont (Solidaires Groupe RATP), Jean-Luc Dupriez (UL CGT Carquefou), Peggy Durlin (SUD Crédit Agricole Mutuel), Simon Duteil (UL SUD/Solidaires Saint-Denis), Mohamed El Mahrouss (SUD Hôtellerie-Restauration), Karim Eljihad (Syndicat Local Construction CGT 37), Marius Faure-Brac (Solidaires étudiant-e-s Grenoble), Arnaud Fonteny (SNEP-FSU Loiret), Henri Fourtine (SNASUB-FSU), Rémy Frey (US CGT Commerces et services Gibert Joseph), Philippe Gaser (Union syndicale de la psychiatrie Languedoc-Roussillon), Edouard Gloanec (SUD Santé-Sociaux Gard Lozère), Laurent Godard (Solidaires Draguignan), Guillaume Goutte (Syndicat des correcteurs CGT), Eddy Guilain (UL CGT Douai), Gaétan Helon (Syndicat Etudiant.e.s et Lycéen.ne.s-CGT valenciennois), Hortensia Inès (CNT-SO éducation), Stanislas Jaunet (Cheminot CGT Nantes), Ronan Jeanne (CGT Chômeurs Lorient), Raymond Jousmet (Snes-FSU), Mohamed Khenniche (Solidaires Industrie), Sylvère Labis (syndicat des retraités interpro CGT du Florentinois), Christel Lacaille (SUD Solidaires MATMUT Ile-de-France), Kaou Lampriere (Solidaires Ille-et-Vilaine), Catherine Laurenti (FSU), Isabelle Le Roux-Meunier (CGT Banque de France), Emmanuelle Lefevre (SNUipp-FSU Loire Atlantique), Chantal Legeais (CNT-Solidarité ouvrière du Nettoyage Rhône-Alpes), Jean-Yves Lesage (Syndicat Général du Livre CGT), Philippe Levet (SNUipp-FSU), Claude Lévy (CGT Hôtels de Prestige et économiques), Nathalie Loinsard (CGT Santé Ile-et-Vilaine), Alexis Louvet (CGT RATP Bus), Grégory Marchand (CGT éduc’action 92), François Marchive (Solidaires Isère), Cathy Menard (SUD Culture-Solidaires Loiret), Bruno Menguy (CNT-Solidarité ouvrière Hôtellerie-Restauration Paris), François Millet (SNU Pôle Emploi FSU), Marie-Line Mongin (SUD Santé Sociaux Rhône), Franck Monvoisin (CNT-Solidarité ouvrière de la Société Oent nettoyage), Grégoire Nadin (SNTRS CGT), David Nimeskern (CNT usine Renault SOVAB Batilly), Hélène Ohresser (Solidaires Bouches-du-Rhône), Louise Paternoster (SUD éducation 93), Ramón Pino (Syndicat parisien des diffuseurs de presse CGT), Julien Plaisant (Solidaires Val-de-Marne), Thierry Porré (Syndicat des correcteurs CGT), Jeronimo Prieto (LAB), Yves Quignon (UL CGT Douai), Hugo Reis (Fédération SUD PTT), Eddy Reyes (CGT Cheminots 30), Valérie Richard (CFDT Décathlon Lorraine), Julien Rodrigues (CGT Services Publics), Théo Roumier (Solidaires Loiret), Olivier Sagette (CGT Paris – Banques), Mathieu Santel (SUD Aérien), Eric Santinelli (Fédération SUD Rail), Marie-Paule Savajol (CGT éduc’action Orléans-Tours), Jérôme Schmidt (Fédération SUD énergie), Frédéric Siméon (CNT Wolters Kluwer France), Eric Sionneau (Solidaires Indre-et-Loire), Pierre Stambul (FSU), Damien Steiner (CGT Cultura), Stéphane Thiel (CNT garages Renault groupe GGBA), Vincent Touchaleaume (STEG UTG Cayenne, Guyane), Julien Troccaz (Solidaires Savoie), Sylvie Vénuat (SNICS-FSU Loiret), Olivier Vinay (FSU), Elise Vinauger (section SUD éducation Université d’Orléans), Christian Zueras (CGT Haute-Pyrénnées)…

 

 

Source : http://onbloquetout.org/

 

 

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21 mars 2016 1 21 /03 /mars /2016 20:52

 

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Pour info et diffusion
Merci

 

SAMEDI 26 MARS 2016 11H30

Devant la MAIRIE D’AVIGNON, place de l’horloge

Rassemblement National - pique nique partagé #2 - en solidarité avec les habitants et paysans de la zad de Notre-Dame-des-Landes.

- Pour l'abandon du projet d'aéroport
- Pour l'avenir de la zad
Pour en finir avec les menaces d'expulsion des paysans et habitants de Notre-Dame-des-Landes

Le 25 et 26 mars, tous les paysans et habitants dits "historiques" de la zad de Notre-Dame-des-Landes seront expulsables suite au procès intenté en janvier dernier à leur encontre à la demande du gouvernement. Celui-ci espérait faire partir les résistants du bocage sous la menace, mais les comités de soutien ont décidé, au contraire, de faire de cette date fatidique un nouveau temps fort de la mobilisation en cours.

Nous voulons rappeler au Parti Socialiste, en tant que parti au gouvernement et promoteur du projet d'aéroport, notre détermination ferme et partagée : il n'y aura jamais d'aéroport à Notre-Dame-des-Landes ! La zad fleurira longtemps !

Nous agirons aussi parce que ce qui se joue à Notre-Dame-des-Landes entre en résonance avec nos luttes locales contre les destructions environnementales et sociales, avec nos propres combats face à la disparition des terres agricoles, face aux causes du changement climatique ou aux lois liberticides de l'état d'urgence. Nous agirons partout parce qu'il est temps de marquer un refus ferme de la marchandisation continue des territoires, de nos vies, et parce qu'il s'est ouvert dans le bocage un front porteur d'espoir.

Pour plus de convivialité et de partage, apportez à manger et boire !

Nous sommes tous/toutes des habitant-e-s qui résistent
Nous le ferons savoir le 26 mars !

 

 

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15 mars 2016 2 15 /03 /mars /2016 17:49

Info reçue par mail

 

 

Loi travail "quasiment rien n'a bougé"
 

 
Contre la Loi EL KHOMRY-VALLS   Tous les rassemblements gardois 
 
- 17 mars  et 24 mars à 12h00 à Nîmes Préfecture 
- 17 mars et 24 mars  à 12h00 à Ales devant la sous préfecture
- 17 mars à 17h30 Vauvert devant l Union Locale CGT.
- 24 mars  à 18h00 Bagnols 18h00 devant le Lycée
- ET LE 31 mars : TOUS EN GRÈVE MANIF DEPARTEMENTALE 15h00 à NÎMES (Maison Carrée).
 
Tous ces rassemblements sont soutenus par la CGT, FO, SUD, CNT, FSU 
et les organisations de jeunesse :Alternative libertaire, CGT jeunes, DIDF, Ensemble, FIDL, Génération précaire, JC, Jeunes écologistes, JOC, Maison des potes, MJS, MRJC, Nouvelle Donne campus, NPA, Osez le féminisme !, PG, Solidaires étudiant-e-s, SOS racisme, Syndicat général des lycéens, UEC, UNEF, UNL
 
  
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Pour Caroline De Haas, militante à l'origine de la pétition intitulée "Loi travail : non, merci !" qui rassemble plus d'1,3 million de signataires, "quasiment rien n'a bougé".

Francetv info : Etes-vous satisfaite par la nouvelle version de la réforme du Code du travail ?          

Caroline De Haas : Le gouvernement comprend enfin qu'il a un problème avec la loi Travail. Il y a trois semaines, on nous expliquait que la loi était parfaite, que nous n'avions pas bien compris et qu'on allait nous expliquer que tout allait bien. Manifestement, si aujourd'hui le gouvernement recule, c'est qu'il y avait un problème et que nous avions raison de le dénoncer. Ce n'est pas rien, c'est un premier recul grâce à la mobilisation citoyenne et syndicale. Mais il reste un os, la pétition comme les manifestations demandent le retrait de ce projet de loi. Les mesures qu'il contient annoncent un changement fondamental de philosophie dans le rapport au travail et dans le Code du travail. Cette idée selon laquelle il faudrait rendre plus précaires les salariés qui ont un travail pour permettre à d'autres d'en avoir, c'est un non-sens économique, démocratique, social.. Quasiment rien n'a bougé.

La CFDT salue néanmoins un projet de loi porteur de "progrès pour les jeunes et les salariés"...      

Caroline De Haas : On annonce un projet de loi gravissime et après des reculs, il devient "seulement" très grave pour les salariés... Je ne vois pas en quoi un texte qui va faire reculer les droits des salariés pourrait constituer une avancée. Il les fait moins reculer que la semaine dernière, mais il les fait reculer quand même. Avec la nouvelle version annoncée par Manuel Valls, la situation reste pire qu'avant l'annonce de la loi.

Ce texte, c'est plus de précarité et plus de chômage et plus de stress et de souffrance au travail. Ils veulent maintenir la facilité de licencier, la priorité aux accords d'entreprises sur la loi, le fait que les heures supplémentaires puissent être payées 10% de plus par simple accord au lieu de 25 ou 50%...

Quelles suites allez-vous donner à votre mouvement ?       

Caroline De Haas : On va envoyer un mail aux 1,2 million de signataires de notre pétition pour leur donner le point de vue des initiateurs de la pétition et leur demander leur avis pour la suite. Personnellement, je serai dans la rue le 17 et le 31 mars pour demander le retrait de cette réforme.

 
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15 mars 2016 2 15 /03 /mars /2016 15:33

 

*Nous nous mobiliserons aussi à Nîmes ! On vous tient au courrant !

 

 

Source : http://www.convergence-des-luttes.org/

 

 

Nous étions nombreux à la Bourse du travail le 23 février dernier.
Le journal Fakir avait pris l'initiative de cette soirée "Leur faire peur" dans la lancée de l'énergie des salles bondées où était projeté le film Merci Patron.
Syndicalistes, intellos, zadistes, ouvriers, mal-logés, étudiants, précaires... Ce soir-là nous nous sommes retrouvés, nous nous sommes rencontrés, nous avons échangé.
Tous ont parlé des nombreuses mobilisations en cours et de leur nécessaire convergence pour construire autre chose.

A la question « COMMENT LEUR FAIRE PEUR ? », la réponse a été unanime : « Nous ne rentrerons pas chez nous après la manif du 31 mars ».
LE JEUDI 31 MARS, on participe donc à la manif nationale à Paris. Mais après le défilé, on ne rentre pas chez nous.
On occupe une place, un lieu, on verra bien où. On fait une projection géante de Merci patron !, à rigoler tous en chœur. On se fait des concerts pour la bonne humeur. Et aussi, surtout : on cause. On essaie d'inventer un truc, un point de fixation des espoirs et des luttes.

 

Syndicalistes, zadistes, ouvriers, mal-logés, étudiants, intellos, précaires et simples citoyens appellent à une grande journée de grève nationale et d’union des luttes le 31 mars 2016 ! 

 
 

Leur faire peur,ça se construit

 

Des groupes de travail sont d’ores et déjà en place.

Pour construire ensemble cette convergence, nous vous proposons de nous réunir à nouveau lors d’une soirée « LEUR FAIRE PEUR,ÇA SE CONSTRUIT » le 14 mars à 18h30 à la Bourse du travail à Paris.
Nos diversités sont une richesse, notre nombre est notre force : c’est par le dialogue, le partage et l’échange que nous rendrons possible une occupation de place ou d’un lieu suffisamment grand à Paris.

Venez avec vos idées et vos compétences pour que cette occupation soit non seulement possible, très large, mais aussi constructive : le début de ce que nous déciderons de faire pour reprendre en main la chose publique.

 

#‎31Mars‬ ‪#‎CamponsSurNosDroits‬

À Paris, ce soir, une réu de nombreux gens à la Bourse du travail à République, qui ont vu "Merci patron", se sont réunis dans un mouvement, "Comment leur faire peur" pour prendre la place le 31 mars, un mouvement semblable aux indignés. Plus de 300 personnes se sont partagées en commissions, dont Assemblée, communication, Accueil, SO et juridique, Cantine, etc. Plus d'infos bientôt.

Occupons les places publiques, pour montrer que ce qui nous unit tous, quelques soient notre âge, notre appartenance politique ou syndicale, notre religion, c'est le besoin de justice, de partage, de paix, de démocratie et de transition écologique.

Ne laissons pas quelques politiciens corrompus et fainéants mettre en pièce le code du travail et notre vivre ensemble, en vendant nos vies et notre planète au plus offrant.

Mettons en commun les problèmes rencontrés dans nos vies, unissons-nous pour résister ensemble et mettre en place des alternatives solidaires.

Nous voulons une économie solidaire. Nous voulons une vraie démocratie. Nous voulons protéger notre environnement.

Le 31 mars, nous serons sur les places.

Pacifiques, solidaires, conscients.
Nous sommes l'alternative.

https://m.facebook.com/events/576419125858967

 

 

*Nous nous mobiliserons aussi à Nîmes ! On vous tiendra au courrant !

 

 

 

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            et pendant l'été

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       chaque mercredi à 18h

                et samedi à 13h

    sur le terrain de Caveirac

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